Maksim avait la rage au coeur, le policier venait d'insulter la personne qui était la plus cher au monde pour lui. Il venait d'insulter son petit frère. Tout les bruits autour de lui s'était atténuer. Il n'entendait même pas la secrétaire s'époumonner à s'en cracher les poumon. Il d'entendait même pas le bruit du surveillant qui venait tranquillement à ce qui aurait dut être une rencontre tranquille. Mais le policier avait fait une seule et unique erreur, impardonnable au yeux de l'adolescent.

Il continuait de lui taper la tête par terre, a qualifourchon par dessus lui. Il lui avait adroitement cassé le nez. Après tout, Maksim avait de l'expérience avec toute les baguarre qu'il avait commencé à l'école secondaire. Bref, tout les bruit s'était atténuer autour de l'autre outre le bruit de son coeur qui battait à tout rompre et le bruit de la tête du policier qui se tapait par terre. Le sa chair qui se déchirait et du sang qui coulait. Le bruit sourd des os qui se broyent sous ses mains. Il n'entendait que ses bruits. Il se sentit alors soulever ce qui le ralentit dans son geste et ce qui le fit lacher le policier.

Il n'eut d,autre choix que de se souveler de terre, les bras lever dans les airs. Le surveillant était quand même plus grand que lui. Il était alors debout dans les yeux, ses yeux éteint qui regardait l'homme, qui avait plutot l'air d'un interne que d'un surveillant avec ses tatouages et ses piercings. Quand il lui dit qu'il avait un très vilain comportement, on aurait un enfant de 4 ans d'ailleur. Ne sacahnt pas trop s'il était sérieux ou non, il baissa alors les yeux vers le policier qui gemissait par terre. Il s'en foulait pas mal que se soit un bon comportement ou non. Il le méritait se connard. Pour le moment, Maks ne se débatait même pas restant dans les air les bras relever couvert du sang du flic sur sa chemise bleu et son visage.

Il entendit alors le bruit des medecins qui accourait dans le hall alerter par la secrétaire qui était toujours aussi paniquer. Elle s'était que ce n'était pas possible, qu'une telle violence était tout simplement gratuite. Elle s'écria qu'il fallait sauver ce policier, ce pauvre agent de la paix qui ne demandait qu'a aider ce gamin qui s'en était prit a lui. Le policier essaya de crier des injure a l'adolescent qui releva un sourcil en l'air.

-Ouais ses ça, ferma ta gueule connard, dit-il a moitier blasser. On pouvait encore entendre la secrétaire qui s'écria qu'il n,était un vaurien qui ne méritait la prison. Que le pauvre policier ne méritait pas ça. Alors Maks leva la tête pour la regarder et lui dit d'un air menacent et sans aucune gentilesse: Non mais tu vas finir par arrêter de gemir. Ce connard n'a ce qu'il merite et si tu continue ses toi que j'envoie a sa place.

Quand il entendit le surveillant dire au flic qu'il l'avait surement mériter, il aussa un sourcil en le regardant. Rare qu'il entendait ca de la part d'un mec plus vieux. Normalement on le traitait de tout les noms et on prenait la part de la personne qu'il avait frappé. Enfin, il le regarda dans les yeux revenu complètement vide d'émotion. Les yeux complètement éteint comme un automate. Il l'écouta parler sans rien dire. Il voulait qu'il lui dise quoi. Il aviat son compte avec le filc alors a quoi bon. Mais un petit sourire, très très mince, ce fit apparaitre au coin de ses lèvres restant tout de même surpris quand il lui retira les menottes.

-Toi t'est pas trouillard en tout cas.

Il lui avait dit ça quand il lui avait retirer les menottes. Non, il ne devait surement pas être trouillard pour retirer les menotte d,un gamin qui venait de défoncer la tête d'un flic. Il se frotta légèrement les poignets en regardant la secrétaire qui recula de quelque pas. Un autre sourire apparue au lèvre de Maks.
Il rit d'un rire sarcastique. Tranquille, dans un enfer pareille. Et puis quoi encore, on allait lui donner une sucette s'il était gentil. Qu'ils se la mettent ou il pense sa sucette. Mais il consentit tout de même a le suivre jusqu'a l'endroit ou il devait l'emmener. Maks ne dit plus un mot, ne faisant que le suivre comme un robot. Arriver dans le fameux bureau, il n'attendit même pas qu'on lui dise de s'assoir. Il s'affala sur l'un des chaus et il essuya son visage d'un coin de sa manche de chemise.

Citation :

Désoler, c'est cour